Le Plessis-Robinson une ville en pleine nature aux portes de Paris
Le Plessis-Robinson, une cité-jardin
La nature est l’atout numéro 1 du Plessis-Robinson. Bois de la Solitude, bois de la Garenne, jardins de l’Hôtel de Ville, jardins de Sertillanges, parc du Moulin Fidel… Impossible de citer tous les espaces verts. Ils représentent plus d’un tiers de la ville. Le plus connu d’entre eux est sans doute le parc Henri Sellier. Sa terrasse constitue le point culminant du département des Hauts-de-Seine. Une fois en haut, on jouit d’une vue à couper le souffle sur le sud de l’Île-de-France.
Commune résidentielle, Le Plessis-Robinson cultive un esprit de village avec ses commerces de proximité, ses équipements indispensables à la vie quotidienne et ses installations dédiées aux loisirs. Elle dispose d’établissements scolaires de la maternelle jusqu’au lycée, de crèches publiques ou privées et d’un groupe hospitalier.
Pour les Hiboux, surnom donné aux habitants, inutile de se rendre à Paris pour voir un film, une pièce ou écouter un concert. Le cinéma Gérard Philipe, le théâtre l’Allegria et la médiathèque Jean d’Ormesson proposent une programmation variée et actuelle.
Les sportifs ne sont pas en reste. Si l’environnement est propice aux activités de plein air (randonnée, course, vélo…), les Robinsonnais peuvent pratiquer leur discipline préférée dans l’un des complexes municipaux (piscine, courts de tennis, terrains de basket, roller park…).
Forte demande et revenus élevés : deux bonnes raisons d’investir au Plessis-Robinson
Avec un cadre de vie qui procure le meilleur de la ville et de la campagne, Le Plessis-Robinson est une adresse prisée. Seuls 2,2 % des logements sont vacants et 46 % des ménages vivent dans la commune depuis plus de 10 ans. La population est répartie presque équitablement entre locataires (52,4 %) et propriétaires (45,3 %).
Les Robinsonnais sont en majorité :
- des familles avec enfants (30 % de la population) ;
- des couples sans enfants (22,3 % de la population) ;
- des retraités (21 % de la population).
Ils perçoivent un revenu supérieur à la moyenne nationale avec 29 480 euros de revenu médian par unité de consommation alors que la médiane nationale est à 21 000 euros.
Quel bien acheter au Plessis-Robinson ?
Que vous achetiez au Plessis-Robinson pour y vivre ou pour y investir, il est fort probable que vous optiez pour le logement collectif. En effet, la ville compte 89,2 % d’appartements.
Les années 2000 ont été consacrées à la rénovation de la cité-jardin. Des immeubles modernes, organisés autour d’une rivière artificielle, ont donné une nouvelle identité à l’ancienne cité ouvrière. Le projet a été récompensé par le Grand Prix Européen de l’urbanisme en 2012.
Aujourd’hui, l’arrivée des trams T6 et T10 favorise le développement de nouveaux quartiers et la construction de programmes immobiliers neufs. Les secteurs de l’Îlot du Ponant, de la Terrasse-Robinson ou du coteau de l’étang Colbert se dotent d’élégants immeubles nichés dans un écrin de verdure. Les façades en pierre et les jardins paysagers de ces résidences s’accordent avec l’architecture vénitienne et les espaces verts qui font le charme si particulier du Plessis-Robinson. Pour vous faire une idée vous pouvez regarder les programmes proposés par le promoteur Quartus.
Vous rêvez d’une villa avec jardin ? Il faudra vous tourner vers le quartier Anatole France ou celui des Wallons pour faire construire votre maison neuve. Autre option, dans l’immobilier ancien, le secteur Jean Jaurès avec ses pavillons et ses maisons mitoyennes.